Judith Butler, Deux lectures du jeune Marx

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Description

« La relation qu’entretient le corps humain avec la nature tout entière est essentielle pour le corps humain, tout comme la relation qu’entretient la nature avec le corps humain s’avère essentielle pour la nature.  »

Judith Butler, pionnière des études de genre, se saisit de la question écologique dans une perspective marxiste. Les réflexions du jeune Marx sont-elles, comme on l’a souvent dit, foncièrement anthropocentriques ? En discutant la conception de la nature comme « corps inorganique de l’homme » développée par Marx dans les Manuscrits de 1844, Judith Butler répond par une tout autre lecture.

Ce texte prononcé au séminaire étudiant Lectures de Marx de l?ENS de la rue d’Ulm est complété par une discussion avec le public offrant une traversée des principales oeuvres de Judith Butler.

Dans la seconde partie de l’ouvrage, la philosophe se penche sur la célèbre lettre du jeune Karl Marx à Arnold Ruge en 1843. Elle y trouve l’occasion de repenser la tâche de la philosophie comme  « critique impitoyable » et sans cesse recommencée de l’ordre établi.

La traduction a été réalisée par Juan Sebastian Carbonell, Francis Haselden, Vincent Heimendinger et Marion Leclair.

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